Les agressions sexuelles sur mineure : que faire face à ces situations ?

Du point de vue juridique, la sexualité est une histoire à prendre avec beaucoup de pincettes. Avec l’importance de la notion de consentement, une agression est très vite arrivée. Longtemps, les agressions ont été un sujet tabou. Mais il convient d’en parler aujourd’hui plus que jamais. Et surtout d’aborder les conditions à avoir face à cette situation très problématique. Dans cet article, vous allez découvrir ce que vous devez faire si vous vous trouvez face à un cas d’agressions sexuelles sur une personne mineure.

Qu’entend-on par agressions sexuelles sur mineure ?    

Juridiquement, une agression sexuelle a lieu lorsqu’une personne subit ou commet des actes à caractères sexuels sans la notion de consentement. Comme vous pourrez le lire sur traite-simplifie.org/, l’agression sexuelle comporte tout acte physique, psychologique ayant un caractère sexuel porté sur une personne qui n’est pas d’accord pour subir de tels actes. Les agressions sexuelles peuvent prendre des formes diverses. Il peut s’agir de viol, d’attouchement sexuel, de harcèlement ou encore de mutilation sexuelle. Les agressions peuvent aussi prendre la forme de voyeurisme, d’inceste. Lorsque ces formes d’agressions sont commises sur des personnes non mineures, on parle d’agressions sexuelles sur mineure. La personne mineure est un individu qui n’a pas encore l’âge de la majorité. Cet âge est de 18 ans dans plusieurs pays. Juridiquement, on ne leur reconnaît pas le droit de consentement. Ce qui fait même avec le supposé consentement d’un mineur, on parle toujours d’agression sexuelle sur mineure.

Alerter la police et déposer une plainte

Devant un tel délit, la réaction immédiate à avoir est de faire le recours à la police. Dès que vous êtes en face d’une telle situation ou dès la minute que vous êtes courant d’une potentielle agression, il faut saisir la police par les canaux disponibles. La victime ou ses proches peuvent déposer la plainte immédiatement ou le faire quand elle sera prête. En justice, la victime a encore 6 ans pour dénoncer une agression. La plainte devra être déposée avec le détail des faits vécus et vus. Il faut surtout dire la vérité. Une enquête sera ouverte pour statuer sur les sanctions juridiques s’il s’avère que c’est une réelle agression. Dans la mesure des preuves seront insuffisantes pour prouver que l’agression est réelle, le tribunal prononce un non lieu et il n’y a pas de sanctions. Pour des démarches plus faciles, il faut s’aider par un avocat ou un conseiller juridique.

Assurer un suivi médical et/ou psychologique à la victime

La réaction à avoir face à un cas d’agression sexuelle sur mineure n’est pas que juridique. Il faut aussi prendre en charge la victime médicalement surtout lorsqu’il s’agit des agressions sexuelles physiques comme le viol ou les mutilations sexuelles. Ces mêmes médicaments que l’agression peuvent être confirmés par un médecin compétent. Dans tous les cas, il faut une prise en charge psychologique pour chaque victime d’agression sexuelle. Les séquelles psychologiques sont à éviter le plus. Les prises en charge psychologiques sont assurées par le psychologue de la victime ou un psychologue qui est spécialisé dans de telles procédures. Elle peut durer même plusieurs après la clôture de l’affaire du point de vue juridique.

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